fait des stock(libre)

Raccoon city le Bar

Melinda commençait a saturer a cause de toute cette pression qu'on lui mettait...seulement la elle ne pouvait pas aider ces demandes étant trop nombreuses...chez elle il n'y avait presque plus d'alcool alors elle decida d'aller en chercher en ville...si tout le monde est mort bah pourquoi ne pas aller se servir dans les reserves d'un bar....Elle fonça en 4x4 jusqu'a la ville...sur son passage elle trouva une ville deserte...enfin presque car la jeune femmme fonça dans des visions mais aussi des monstres bien reels...le visage blanc et marqué par l'effroi la jeune femme arreta le moteur...elle prit un grand sac a dos et son pistolet....elle entra facilement dans le bar dont la porte était ouverte...pas de lumiere evidemment...alors elle fronçait les yeux pour mieux voir....il faisait jour donc ça allait encore...elle regarda derriere le bar et y trouva quelques bouteilles....ça ferait l'affaire ce n'était pas la peine de se charger car si elle devait courire elle n'allait pas prendre le risque d'etre tuée pour de l'alcool...mais tout a coup elle entendit des pas....planquée derriere le bar elle observait pour voir si quelqu'un arrivait...

"Qui êtes-vous ?"

Alors que sa voix s’atténuait doucement, Carlos sortit de l’ombre, arme au poing, visant sans arrêt la tête de la jeune femme qu’il discernait à peine dans la pénombre du bar. On était jamais trop prudent, et il en avait vu de tels qu’il préférait encore prendre toutes ses précautions, au risque de menacer quelqu’un de plus hostile que lui. Au pire, il aurait le temps de dégainer assez vite, pour décocher sa balle, et atteindre sa cible. Cette assurance-là lui suffisait largement.

Il eut un rapide coup d’œil pour les alentours, comme vérifiant qu’ils n’étaient bien que deux. Il avait assez d’adversaires potentiels pour en laisser certains dans l’ombre, et l’hypothèse de complices tapis quelque part dans la pénombre l’inquiétait toujours un petit peu. Prudence était mère de sûreté, l’ennui c’est qu’à être trop prudent, il n’était jamais sûr de rien.

Depuis qu’il errait dans toute la ville, Carlos avait appris à se méfier de tout et surtout de tout le monde, mais cela n’avait pas suffi à maintenir ses amis en vie. Il en était toujours totalement terrifié et désespéré, et il avait parfois du mal à avoir l’envie de vivre. C’était compréhensible et légitime, mais il pourrait rapidement en mourir.

Mélinda se retrouva braquée avec un flingue sur la tete sans meme avoir eu le temps de reflechir...elle deglutit bruyement et la main tremblante elle pointa son arme vers la tete de ce monsieur....elle avança lentement vers lui son sac a dos faisait un tintement de verres...elle le fixa dans les yeux et lui répondit...

Mélinda...Mélinda Waren...vous etes le proprietaire de cet établissement?

tout ce qu'elle trouva a ajouter une phrase idiote essayant de couvrir cet acte de vol qu'elle venait de faire...il n'avait pas l'air d'etre un de ces monstres et était pas non plus un fantome...un etre humain alors? mais encore vivant....elle le regarda de haut en bas et la main tremblante elle pointait toujours cet homme dans la tete...

et vous vous etes qui?

le mieux était de continuer a parler...peut etre que l'atmosphere se détebdrait car la jeune femme n'avait pas l'intention de se prendre une balle entre les deux yeux...en effet elle n'avait aucune chance face a cet homme qui avait l'air bien entrainé contrairement a elle...

Au vu de sa posture, Carlos était quasiment certain qu’il n’avait aucun souci à se faire quant à la poursuite de sa vie, tout du moins, tant que cette inconnue serait sa seule ennemie dans les parages. Le poignet vacillant, elle n’était ni sûre de ce qu’elle faisait ni de ce qui allait se passer, et contrairement à Carlos, elle ne savait pas le cacher. Il avait été entraîné pour de toute façon, et autant dire que ce n’était pas le moment de douter. Autant paraître le plus sûr possible, car lui non plus, quoi qu’il en montre, n’était pas vraiment rassuré.

En cas de problème, il était quasiment certain de pouvoir tirer plus vite qu’elle, mais il n’était pas vraiment enclin à l’idée de devoir tuer l’une des rares personnes qui soient encore un tant soit peu humaine. L’Humanité était assez relative, même pour les non contaminés qui étaient parfois inhumain dans le seul but de protéger leur misérable existence, et Carlos en avait croisé. Il eut l’esquisse d’un sourire devant la première de ses répliques, surtout vis-à-vis de sa question.

"Je peux vous jurer que si j’étais le propriétaire, vous seriez déjà morte."

Ce n’était même pas une menace, il avait juste un tout petit peu d’humour qui n’avait pas totalement été ravagé par son désespoir ou sa peur. Comme quoi, il y avait peut être un peu d’espoir partout, même là où l’on croyait ne plus jamais en voir un commencement. Carlos tentait toujours par tous les moyens de redresser son propre moral, car son cynisme était souvent plus présent que son optimisme.

"Je m’appelle Carlos Oliveira, je faisais partie d’Umbrella Corporation. Et j’ai un marché à vous proposer. Si vous baissez votre arme, je ferai de même."

Il arqua un sourcil, attendant la réponse. De toute façon, elle perdrait le duel s'il devait y en avoir.

La jeune femme vit cet homme esquisser un sourire et lui avouer qu'il n'était pas le ^proprietaire du bar..heureusement d'ailleurs car Mélinda n'était pas habituée a voler étant donné sa grande fortune...mais sans etre humain elle était bien obligée de le faire pour se procurer de quoi vivre...enfin si on peut dire ça comme cela...
soudain le jeune homme se présenta et lui proposa de baisser son arme...Mélinda poussa un soupire de soulagement car ça auraot été bien plus que difficile de tuer un homme...elle s'avança vers lui et lui dit....

oh merci....j'avait pas l'intention de vous tuer..j'suis plutot rassuré de trouver quelqu'un ici...enfin quelqu'un de vivant...

elle rangea soigneusement son pistolet dans sa poche arriere de jean et posa son sac assez lourd au sol...elle rougit un peu avant de se confesser...a un inconnu certes mais a qualqu'un qui était encore de ce monde pour l'écouter....

je...je...venait...faire des provisions en quelque sorte....et vous que faites vous ici...

Mélida ne tremblait plus car si il arrivait quelque chose elle pouvait se sentir plus en securité accompagné d'un homme qui avait l'air de bien savaoir se servir de son arme...

Elle parlait sans doute un peu trop, mais il esquissa néanmoins un simple sourire presque amusé. De toute façon, le trac qui régnait parmi tout le monde était souvent le moteur de quelques mots dépassant la pensée, et bienheureusement pour lui, Carlos avait toujours réussi à prendre le pas sur ces choses-là. L’expérience lui avait sans doute appris bien des choses, et Umbrella Corporation y était d’ailleurs pour quelque chose, et pas qu’un peu.

Il marqua néanmoins l’acceptation de ce compromis, et se fia, si l’on peut dire, à sa parole et à son geste. Il rangea donc son Desert Eagle dans l’étui, sans jamais le refermer, car il avait facilement appris que quelques secondes de trop pouvait valoir cher sinon la vie. Autant être conciliant sans être inconscient, comme toujours.

"Je ne devrais sans doute pas vous le dire, mais vous ne devriez pas être si rassurée … "

Non, il n’avait aucun intérêt à lui confier ce genre de choses, néanmoins, si elle ne se fiait pas à lui, elle éviterait sans doute de se fier à quelqu’un d’autre. On ne pouvait quasiment compter que sur soi-même, car même ses amis n’étaient plus fiables. Carlos avait vu ses amis un à un disparaître sous cet aspect de zombie, et il avait dû se résoudre à les tuer un par un. Il n’avait plus aucune envie de devoir réduire la vie de quelqu’un qu’il appréciait à néant.

"Rien de vraiment décidé. J’erre un peu partout, à la recherche de survivants, et d’un moyen de quitter cette ville …"

Mélinda fronça les yeux en entendant la réponse de ccet homme...elle croisa les bras et lui dit d'un ton intrigué...

pas si rassuré? vous comptez faire quoi de moi?

la fin de sa phrase avait devié vers un ton amer...Mélinda qui pour la premiere fois de sa vie était contente de voir un etre humain se faisait legerement snobée par cet homme ce qui lui rappela qu'ils étaient tous les memes...inutile alors de lui parler de son don cela n'arrangerait rien....le mieux se faire passer pour une simple victime...enfin pas si sur car elle pourrait etre considéerée comme un boulet...Mélinda remit alors son sac sur le dos et regarda Carlos de haut en bas avec un regard noir...

Si vous vous conduisez comme ça avec tout les survivants que vous croisez vous ne risquez pas de vous en faire des alliers!!

Elle passa a coté de lui et jeta un coup d'oeil par la fenetre....elle vit sa voiture toujours intacte...elle fit signe a l'homme de venir....

Vous voulez que je vous conduise quelque part? cette voiture est une sacrée arme de guerre je vous assure...

elle esquissa un sourire en le regardant...elle ne pouvait pas vraiment lui en vouloir d'etre si hostile car apres tout vu ce qu'il se passait c'était assez comprehensible...

"Cependant, parfois, vous devriez être moins sur la défensive, en revanche."

Il haussa vaguement les épaules alors qu’elle venait de se braquer sans vraiment en avoir de raison. Carlos avait au moins été honnête avec elle, et l’avait clairement mise en garde. Etait-ce un tort ? En un sens, c’était manquer de tact que de lui lancer cette remarque de but en blanc, mais quelque part, il ne voulait que son bien, car si elle se fiait à tous les survivants, elle se verrait sans doute rapidement hors de ce groupe.

Il n’y apportait pas plus de considération que cela. Après tout, il était loin d’être là de son gré et même pire, loin d’être là pour se faire des amis. Qu’elle prenne toutes les répliques comme elle le voulait, cela ne changerait rien à ses plans, et pour le moment, il était loin d’être basé sur « Être le bon copain de tout le monde, mode : on ». Il avait bien mieux à faire.

"Je préfère ne pas avoir d’allié que d’avoir un traître."

Il demeura néanmoins perplexe. La réaction assez vive de Melinda l’avait laissé dans un état parfaitement indécis. Cependant, il jaugea sa proposition. Le souci c’était bien qu’il n’avait aucune destination précise, alors où pourrait-elle bien l’emmener ? Il resta un instant silencieux, et émit une nouvelle proposition.

"Je ne sais pas où aller. Mais je peux vous proposer de vous accompagner. En tout bien tout honneur, et nous verrons qui de nous à lui peur des alliés ou des traîtres."

Il arqua une nouvelle fois le sourcil.

Mélinda ecoutait ce jeune homme apparement tres sollitaire...bien plus qu'elle ne l'était..ce qui l'amusa d'ailleurs car elle pensait etre imbattable a ce sujet...Mélinda regarda cet homme qui était plus que méfiant...elle fronça les sourcils et lui dit...

j'ai une question a vous poser....pourquoi croyez vous que les seuls survivants de cete ville aient l'intention de se trahir....? ce n'est pas dans ce genre de moment qu'on doit se serrer les coudes?

Elle marcha dans la piece le regarda dans le vague...elle se demandait si il y avait uniquement le fameux probleme du virus...peut etre que c'était bien plus compliqué qu'elle ne le croyait...
Elle se tourna vers Carlos et souria quand il accepta la proposition qu'elle venait de lui faire...elle pencha la tete sur le coté et lui dit...

Parfait!!! moi j'avait personnellement envie de rentrer chez moi! parce que trainer ici ça me file la chair de poule...mais ce n'est peut etre pas tres rejouissant pour vous...enfin sauf si vous avez nullepart ou aller je peux vous proposer de venir vous reposer chez moi...c'est un endroit en securité....sauf si vous le rendre moins sure...mais quelque chose me dit que je n'ai pas a craindre de vous...

elle lui fit un clin d'oeil..eh oui Mélinda bien que sollitaire avait parfois des reactions etranges...

"C’est de la naïveté, non ?"

Demanda-t-il dans un léger sourire amusé. Tout du moins, au vu des paroles qu’elle venait de lui adresser, Carlos n’avait aucun problème à concevoir ce fait ainsi. Après tout, le monde où tout le monde se sert les coudes était honorable, mais surtout très rare voir improbable. Dans ce genre de situations, il y avait des gens qui s’alliaient pour mieux survivre, et qui pouvaient donner leur vie pour d’autres, mais il y avait aussi – et surtout – les autres : ceux qui trahissent, qui attendent que par confiance ou dépits on leur tourne le dos, pour mieux nous enfoncer le couteau.

"Vous avez forcément croisé des gens qui auraient fait tomber votre tête pour sauver la leur, ne me dites pas le contraire."

Il jeta un regard autour de lui, et revint néanmoins à elle, pour finir, en quelques sortes, sa phrase.

"De toute façon, je ne vous croirais pas."

Il revint encore une fois balayer la pièce des yeux, scrutant avec méfiance l’obscurité les entourant, comme s’il cherchait la moindre menace. Il pensait entendre des bruits, mais il n’en était pas certain, d’autant qu’elle avait repris. Il s’évertua à reporter son attention sur Melinda, mais il eut tout juste le temps de croiser son regard qu’il vit à ses côtés un zombie se jeter sur lui dans l’intention de le mordre. Carlos s’écarta brusquement, et manqua par deux fois de trébucher, ceci étant, il se redressa aussi vite, dégaina et tira un coup net et précis entre les deux yeux du mort vivant. Il eut tout juste le temps de s’avancer rapidement vers Melinda que d’autres apparaissaient déjà.

"Ce serait bien d’y aller, maintenant !"

Mélinda fronça les sourcils écoutant cet homme...elle n'avait pas l'habitude qu'on lui parle ainsi...enfin plus mainteant....ça faisait trop longtemps qu'elle n'avait pas eu de clients pour lui dire ce genre de choses...elle haussa legerement le ton et lui dit sechement....

je ne vous permet pas de me parler comme ça!!!! simpa comme premiere rencontre!!!! vous etes le deuxieme survivant que je croise et la personne avant vous était beaucoup plus accueillante que vous ne l'etes...c'est sur qu'en pensant ainsi vous n'allez jamais rencontrer de personne qui vous veulent du bien....

Elle regarda cet homme puis elle se radoucit il ne fallait pas faire ça...sinon elle se retrouverait seule ce qui n'était pas la meilleure chose a faire...

Excusez moi....mais j'essai de positiver...sinon avec cette situation autant que je me tire une balle dans la tete...

Elle baissa les yeux retenant sa peine pour ne pas craquer...c'est la que Carlos sursauta...Mélinda poussa un cris voyant Carlos tirer dans la tete de ce monstre...elle le regarda et hocha la tete en guise de réponse...Mélinda attrappa la main de cet homme et l'emmena vers la porte de derriere jusqu'a sa voiture....une bande de ces monstres venaient d'envahir le bar et n'allait pas tarder a les suivre...alors elle sortit ses clefs et ouvrit la voiture...

Qu’est-ce qu’il avait dit ? Dieu que les femmes pouvaient être susceptibles ! Et après, on lui demandait pourquoi il était un célibataire invétéré et un homme indépendant ? La réponse lui semblait en tout point évident, il n’était pas fait pour s’entendre avec les femmes, ou alors elles cherchaient bien trop souvent la complication. En l’occurrence, il pariait sur ce point-là, surtout que Melinda avait l’air d’être une femme peu commune, dans tous les sens du terme. Il ne comprenait pas cette réaction, mais n’allait pas en faire toute une histoire, si bien qu’il ne répondit rien.

Autant ne pas ajouter d’huile sur le feu comme on le disait, et Carlos tendait à cette alternative qui empêcherait une altercation parfaitement inopinée. Autant jouer la conciliation et le pacifisme, et il règlerait ses comptes si compte il y avait un peu plus tard, si tant est qu’il eut un temps pour ce genre de futilités.

Les choses s’enchaînèrent assez rapidement et Carlos prit le fil des évènements comme il lui tomba dessus, si bien qu’il tira quelques coups successifs, histoires de garder ces zombies en retrait pendant encore un petit moment. Il ouvrit rapidement la porte, et s’engouffra dans la voiture, ouvrant rapidement la fenêtre. Il poursuivit ses coups de feu, avant de revenir à l’intérieur pour s’adresser à Melinda.

"C’est quand vous voulez, on est pas pressé."

Mélinda une fois entrée dans la voiture mit les clefs sur le contact..il ne serait pas prudent de démarrer tant que carlos serait a moitié dehors..quand il se tourna vers elle pour lui parler elle se contenta d'hcher la tete et appuya sur le champignon...la voiture démarra en trombe quand deux de ces monstres essayerent de bloquer le passage Mélinda les culbuta sans remord...elle souria satifaite d'avoir un peu de pouvoir derriere le volant de son engin...elle avançait dans la ville tentant de trouver un chemin qui ne serait pas trop bouché...ici c'était un desatre des cadavres au sol...tout était cassé icompris les voitures accidentées..elle du faire demi tour et repris le meme chemin qu'a l'aller...personne ne les avait suivit et il ne fallait mieux pas si elle voulait continuer a vivre en sécurité...elle regarda un instant Carlos et lui fit un petit sourire...qui cachait un gros effort de sa part...
Elle ouvrit le portail de son allée avec sa telecommande et gara sa voiture devant l'entrée du manoir...elle descendit et attendit carlos...le ciel devenait de plus en plus sombre chargé de nuages et la nuit arrivait a grands pas...

Sarcastique au possible quand il s’y mettait. C’était cent fois plus fort que lui, il ne pouvait pas lutter contre une remarque de plus ou de moins, qui reflétait toujours la livraison des mots comme ils lui traversait l’esprit, et ce n’était pas toujours pour la meilleure des subtilités. Carlos lutterait un autre jour contre sa nature récurrente, car pour le moment, les ennuis étaient un peu plus important que quelques soucis personnels parfaitement futiles et inappropriés à toute situation.

Deux zombies sur le pare-choc et quelques rues après, il se crut suffisamment en sûreté pour ranger son arme à sa place, en constatant auparavant que son chargeur était à sec, ce qui ramenait son quota de munitions à deux chargeurs pleins. Maigre sauvetage quand il ignorait parfaitement quand est-ce que ce cauchemar cesserait enfin. Il tentait avec peine à relativiser sa situation, et il fut tout de même satisfait de se savoir en sécurité, au moins pour un temps. Quoi qu’il n’était pas certain que Melinda veuille vraiment son bien. Ce qu’il comprenait.

"Super."

Il avait donc rangé son arme dans son étui, et avait posé les yeux sur le manoir où Melinda semblait vivre. Peu commun comme demeure, et il repensait vaguement à son appartement exigu qui l’attendait toujours à plusieurs centaines de kilomètres de Racoon City. Les habitants de cette ville tout sauf tranquille semblaient tous ou presque avoir des moyens importants, et il jeta un regard sur l’extérieur. Il lâcha un léger soupir alors qu’elle descendait, et l’imita quelques secondes après. Son cauchemar était-il devant ou derrière lui ?

"Impressionnant. Une voleuse d’alcool qui habite dans un tel endroit, je suis bluffé"

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