suite de fait des stocks (pv Carlos)

Mélinda regarda cet homme admirer le manoir...elle avait bien conscience que tout le monde n'avait pas la chance de pouvoir vivre dans un tel endroit...elle se sentait meme genée d'etre privilégiée...enfin c'est tout de meme grace a cet endroit qu'elle était encore en vie...elle croisa les bras et fixa Carlos qui lui fit une remarque....encore une fois elle le prit mal...l'humour? elle le connaissait mal!!!

J'avait besoin de bouteilles!! et personne n'était la pour que je paye!!! je suis sur que vous faites la meme chose!! on survit comme on peux!!!

puis elle s'arreta et esquissa un sourire....elle remua la tete de gauche a droite et lui dit...

]b]veuillez m'excusez j'suis insupportable...allez venez entrez j'suis sur que vous avez une faim de loup!![/b]

Mélinda faisait beaucoup d'efforts pour etre sympathique...car elle avait vraiement du mal avec les etres humains...

"Je ne bois pas. C’est déjà ça en moins dans nos points communs."

Rétorqua-t-il sur la même note amusée que d’habitude. Peut être un tant soit peu exagérée voir très sur le moment, mais les réactions de Melinda étaient assez impressionnantes et parfaitement imprévisibles, et peut être même qu’il aimait un peu la chercher, jouer avec ses nerfs, essayer de la comprendre un tant soit peu. Rien ne semblait y faire, elle était totalement de marbre, et il ne pouvait pas lui en vouloir, quoi qu’il gardait le goût amer de chacun de ses propos dans la bouche.

"Oh, je vous rassure, vous m’êtes des plus sympathiques. Tant que vous ne faites pas de moi votre dîner."

Il devrait sans doute se calmer au niveau des sarcasmes, et alors qu’il jetait un nouveau regard sur le manoir, il s’en fit la promesse. Il pouvait bien être agréable, quoi qu’il ne se soit pas senti si antipathique jusqu’à maintenant, prévenant et méfiant tout au plus, on ne pouvait pas vraiment l’en blâmer, non ?

A propos du manoir, il avait du mal à en détacher le regard. Il avait un vague souvenir effacé qui lui trottait dans la tête depuis un moment, mais vu le nombre de maisons, manoirs et appartements vides qu’il avait visité, il était normal que certains aspects de cette demeure lui en rappelle d’autres. Il secoua donc légèrement la tête, et se rapprocha de Melinda qui s’était déjà bien engagée en direction de la porte.

"C’est quand vous voulez."

Mélinda regarda Carlos lui dire qu'il ne buvait pas...sa façon de parler la derangeait..ce n'était pas vraiment les mots qui la genaient mais plutot le ton sur lequel il les prononçait...elle fronça les sourcils et se retint de lui cracher son venin...elle tourna la tete en monta sur les marches du peron...elle regarda l'homme qui ajouta une phrase la elle posa ses mains sur ses hanches et lui dit....

Je ne risque pas de vous manger vous n'etes pas du tout mon genre rassurez vous!!!

dit elle sur un ton piquant et un sourire aux levres...puis elle ajouta...d'un ton beaucoup plus doux...

vous avez encore peur de moi? qu'est ce qu'il faut que je fasse pour que vous me fassiez confiance?

elle entra dans le manoir prenant soin d'essuyer ses pieds sur le pailllasson...elle ferma la porte a clef derriere eux et regarda Carlos....

Je vous rassure ce n'est pas un piege.....si vous voulez on feras meme la cuisine ensemble pour que vous soyez sur que je ne vous empoisonne pas!!

elle ria legerement..detendre l'atmosphere c'est ça qu'il fallait faire...mais comment?

"Et subtile avec ça !"

Ajouta-t-il plus pour lui-même à la remarque dont elle le gratifia au début. Elle n’avait que des qualités qui sautaient aux yeux ! Sa façon de lui dire qu'il n'était pas du tout son style était vraiment douée d'un tact impresionnant, on ne peut mieux ! Carlos jouait beaucoup de son sarcasme sinon de son cynisme, et Melinda l’inspirait comme rarement. Rien de ce qu’il disait ou faisait ne semblait en mesure de lui convenir, si bien qu’il pensait qu’il ferait peut être bien mieux de ne pas rentrer, de passer son chemin, ou alors de poursuivre tout en gardant le silence. Puéril, sans aucun doute.

"Je n’ai pas peur de vous …"

Commença-t-il en passant le pas de la porte. Il n’avait pas fini immédiatement sa phrase, car son regard s’était bien largement attardé sur les alentours, et le nouvel espace qui s’offrait à lui. D’extérieur, le manoir semblait vraiment être superbe, mais l’intérieur était tout aussi impressionnant, et il marqua quelques secondes avant de se retourner vers elle pour finir.

"Je n’ai jamais eu peur de vous en fait. Je sais juste que la confiance coûte cher par les temps qui courent."

Il arqua un sourcil comme pour avoir une réponse, comme s’il attendait finalement une réaction de la part de Melinda, qui renchérit sur une certaine note d’humour, que Carlos apprécia dans un léger sourire. Piège ou non, il était tellement sur ses gardes que c’était sans doute elle qui était le plus en danger en l’ayant amené ici.

"Je me sens rassuré désormais. Joli manoir."

Mélinda eut un sourire aux levres quand elle entendit la réponse de Carlos cette douce petite guerre dans le paroles commençait a l'amuser finalement..Elle ecouta la deuxieme réponse de Carlos avec tout autant de plaisir...elle n'était donc pas impressionnante..ce qu'il cherchait en verité la confiance...Mélinda lui répondit alors...

Je vous comprend...enfin si je peux me permettre j'inspire pas vraiment confiance....je l'avoue...

Mélinda souria au compliment concernant le manoir..elle fit signe a Carlos de la suivre...elle alluma la lumiere eh oui..il y avait encore de l'electricité dans ce manoir..entierement emmenagé pour la sollitude a l'état pure.il possede son propre generateur....quand on a de l'argent ça aide..enfi meme si elle aurait pu s'en passé avant la il était bien utile...elle entra dans le salon et posa son sac sur le sol pour en sortir ses bouteilles et les ranger dans le bar...meme si les temps étaient différents la jeune femme preait toujours le temps de ranger ses affaires...
Mélinda regarda Carlos..

Asseyez vous...si vous n buvez pas qu'est ce que je vous sert? Thé ? Café? chocolat?

Elle accompagna sa phrase d'un grand sourire amusé voir si il allait répondre normalement...comme amusée par les répliques qu'ils échangeaient tout deux...

"Je suis curieux de trouver quelqu’un qui m’inspire confiance."

Répondit-il vaguement alors que son regard était toujours pour le remarquable intérieur du manoir, qui semblait le fasciner plus que tout autre. Il faut dire qu’il avait rarement vu de tels endroits durant sa vie, sauf lors de descentes pour Umbrella Corporation, la réunion de quelques membres et agents dormants, alliés aux diverses missions. Lui qui n’avait jamais vécu que dans de pauvres quartiers populaires et défavorisés était loin d’être habitué à de telles demeures. Néanmoins, il s’adaptait ainsi plus facilement à sa condition de vie actuelle, pour le moins périlleuse.

Il la suivit enfin silencieusement, prêtant toujours un regard aux alentours, qui laissait clairement percevoir sa fascination continuelle. Il n’était peut être pas adepte de l’argent, car Carlos n’était pas un homme vraiment cupide – comme tout a chacun – mais il savait apprécier certaines distinctions, et en l’occurrence, il savourait fièrement ce petit instant. Si c’était le dernier lieu qu’il devait visiter, il eut le sarcasme de penser que c’était sans doute l’un des plus beaux qu’il aurait pu fouler.

Il laissa un regard furtif balayer la pièce, car s’il était impressionné voir même extasié, il ne pouvait se retirer de l’idée de demeurer en tout temps et en tout lieu d’être perpétuellement méfiant, à l’affût de quelque chose de peu commun, de différent, n’importe quoi qui saurait attirer son attention. Entraîné à tout, Carlos était peut être le plus prévenant et le plus perfectionniste des agents d’Umbrella Corporation.
Il posa enfin les yeux sur Melinda, et jaugea sa proposition.

"Un peu d’eau ? Potable s’il en existe encore. "

Il laissa un léger sourire venir s’imposer de lui-même sur ses lèvres. L’eau se faisait rare puisqu’elle pouvait facilement être atteinte par le virus, et tant qu’à éviter d’être attaqué par ses monstres, autant ne pas mourir sottement d’une mauvaise alimentation.

Mélina souria a la remarque de Carlos et lui dit...

contente que ce soit pour une fois pas moi a cause..

Soudain pres etre sortit de ses reveries répondit a l question de Mélinda..celle ci hocha la tete et lui répondit...

je peux vous trouver ça! c'est tout ce dont vous aviez besoin? assiez vous j'arrive de suite..

Mélinda alla a la cuisine chercher une buteille d'eau..elle posa deux verres et la buteille sur un plateau..elle ramena également un bol dans lequel elle avit mis des gateaux aperetifs..ele voulait recevoir convenablement son hote..elle ramena le tout et le déposa sur la table basse...elle alla vers e bar et sortit une boutelle de whisky..elle se servit un leger verre et alla s'assoir a coté de Carlos...elle lui tendit son verre pour trinquer..un pu amusée par la situation...

Il ne releva pas sa première remarque, quoi qu’il mette un point d’honneur à en garder la mémoire au cas où cela pourrait avoir un quelque intérêt dans un futur proche ou éloigné. Carlos avait été entraîné, et déjà bien avant Umbrella Corp. si bien que relever toute information même anodine était du goût de tous les jours. Heureusement qu’il avait ce savoir et surtout de bonnes techniques militaires, puisque sans cela, il aurait eu toutes les peines du monde à avancer dans ce monde de chaos et de terreur perpétuels.

Melinda accéda à sa demande, qui n’avait en soit rien d’exceptionnel, et il acquiesça dans un simple signe de tête avant qu’elle ne le questionne de nouveau. Avait-il besoin de quelque chose d’autre ? Pas vraiment. Tout du moins, il avait besoin de bien des choses qu’elle ne pourrait jamais lui apporter, et Carlos était un homme si simpliste qu’il se contentait souvent de ce qu’il avait sans ce qu’il voulait.

"Juste de l’eau, ça ira, merci."

Il la laissa partir, et il s’installa à peine comme elle lui avait demandé. Il était toujours très observateur, c’était une seconde nature chez lui et puisqu’il ne se fiait presque jamais à son environnement même le plus familier, il nota quelques détails ci et là, qui pourrait lui permettre de se retrouver en toute situation. Que pouvait-il bien arriver ? On était jamais sûr de rien.

Elle revint auprès de lui et il inclina une nouvelle fois la tête pour la remercier. Il trinqua et dégagea un léger sourire : on traquait rarement à coups de verres d’eau, mais il préférait garder les idées claires et ne pas s’enfermer dans l’oubli qu’il désirait pourtant tellement.

" Alors, pourquoi chercher de l'alcool dans un bar minable quand l'on possède un tel endroit sans doute rempli de bien des choses ?"

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